mercredi 9 novembre 2011

Qu'on ne s'y trompe pas



Qu'on ne s'y trompe pas cette situation n'est pas exactement équivalente à celle décrite par le dessin précédent. Cette fois vous regardez un cube dont un de ses sommets se présente exactement en face de votre œil, et, attention, le sommet opposé se trouve exactement dans le même axe, dans le prolongement difficile à se représenter je vous l'accorde de ce que Léon Battista Alberti nommait "le Prince des rayons", tout simplement la ligne imaginaire qui relie votre œil au point central de l'objet que vous regardez avec attention, exactement au centre de votre champ visuel vaguement rond.

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